mardi 28 janvier 2014

Trop bizarre

l’image que j’ai dans mon groupe d’amis. J’ai été la première à avoir un mec avec qui on faisait du sexe (des fois; mais pour vous donner une idée du truc, la dernière fois que j'ai dansé avec un mec bourré à la Bellevilloise, c'était mieux) : j’ai eu le premier vrai couple. C’était en hypokhâgne - on est ce qu’on peut appeler des rapides -. J’ai été la première à rompre et à sentir que j’allais mourir, puis faire des crises d’angoisse. Maintenant, les autres m’appellent et me disent : putain hier j’ai failli faire une crise d’angoisse, j’ai senti une pression, j’arrivais plus à respirer, j’ai failli t’appeler. Appelle, je suis au point. Je gère. Je me demande ce qui vient après. Mais je préfère ne pas baliser le chemin (allez-y, c’est moi qui vous suis).

Trêve de plaisanteries.

 Trêve de galéjades. Trêve de noms de bourgeois pour dire "arrête tes conneries" (encore mieux avec l'accent de mon père, avec le [R] appuyé).
Je sais pourquoi j'écris pas. Les gars, ça ne me réjouit pas de le dire, mais... c'est que j'ai trop d'interlocuteurs. Toute la journée. Blablabla. Et madame je voudrais savoir ceci, et madame cela, et si on réfléchissait à ça.  En plus maintenant, j'ai plus de sept amis (je sais c'est bien trop pour une seule personne).
 
Quand j'écrivais beaucoup, j'étais au lycée (c'était l'bon temps, j'étais la pierre philosophale quand je marchais dans la rue). Et quand j'étais au lycée, j'avais deux amies. Le reste c'était 1) des amis sur internet, et 2) il n'y avait personne d'autre, parce qu'il fallait voir la gueule des gens. C'était un peu la cour des miracles.
Donc comme j'ai un besoin viscéral de parler, il fallait que j'écrive pour déverser tout ce qui sortait de moi (le Vésuve en éruption - en éruption hormonale à ce moment là à mon avis-). Maintenant c'est différent (et vous savez que j'aime pas quand c'est différent).

Vous avez vu,

j’écris pas beaucoup (c’est parce que je dois faire n’imp dans ma vie, ça m’intéresse pas mal en ce moment de faire n’imp). Mais quelques fois, c’en est trop je dois dire un truc. Par exemple, je me suis rendue compte d’une grande supercherie : Diam’s a tout pompé sur Keny Arkana. Mais genre, mais elle lui a tout pris. Elle l’a dépouillée et elle a été toquer chez MTV. Et ça, les gens ne le savent pas. Et vous brûliez de le savoir. Ne me remerciez pas

jeudi 23 janvier 2014

Sinon, ma vie,

 c'est à peu près du n'imp. J'ai revu le mec des chèvres. C'était n'imp. Je me fais draguer par tous les rebeus de Dreux qui ont atterris à la Bellevilloise (je croyais pourtant qu'on avait fermé la ville aux barbelés depuis longtemps). Je me sens un peu comme la pierre philosophale. Ca me rappelle le lycée. Julie hallucine. En substance: "mais tu es grosse et tu te fais draguer plus que moi". C'est ce que j'appelle le théorème de la pierre philosophale. Non démontré mathématiquement, mais qui a reçu nombre de confirmations par expérimentation.
 
Bref, j'attends l'amour, la douceur et la fièvre.

Cette année je suis chez les riches.

 Il m'arrive des aventures qui n'arrivent que chez les riches. Des trucs de parents d'élève qui ne sont pas d'accord avec ma vision de la stylistique. Ceci n'est pas une blague - c'est de la science fiction. Un jour, je vous raconterai l'histoire de la vieille connasse (c'est l'histoire d'une vieille connasse).
Sinon, mes élèves sont fans de Kev Adams. Mais le petit plus, par rapport au reste de la France, c'est que le week-end, ils font des soirées avec lui. Voilà voilà.