Je me rappelle d’une sensation très fugace. C’était l’aube, un samedi matin, et je rentrais chez moi. On sentait la lumière qui commençait à poindre, et je traversai le passage piéton entre le parc et le RER. Je me suis sentie heureuse d’être vivante et d’être là, à regarder la rue et tous ces arbres.
Je revenais d’une soirée chez Cédric, on avait fait un bad avec de la beuh trop forte et on s’était retrouvés à agoniser, assis comme des loques sur le lino de ses toilettes. Moment de solidarité s’il en est.
Je revenais d’une soirée chez Cédric, on avait fait un bad avec de la beuh trop forte et on s’était retrouvés à agoniser, assis comme des loques sur le lino de ses toilettes. Moment de solidarité s’il en est.