samedi 3 août 2013

Dans les Amours Imaginaires, Monia Chokri a tout dit : «l’important, c’est de dormir en cuiller»

Vous avez pas remarqué à quel point je manque de modération? (Si, hein). Soit je m’en fous mais alors absolument et définitivement ; de ces mecs là je ne vous en parle pas trop, j’ai déjà du mal à m’en rappeler (Julie : « - Mais si, rappelle-toi, tu nous en parlais en novembre, tu étais bien…», Moi : « - Non je te jure j’avais personne en novembre »), soit je sens bien que j’ai envie d’ouvrir les vannes et que je peux commencer à ressentir une véritable affection, vouloir son bien et souffrir quand il souffre (ce soir je me sens l’âme d’un auteur de secret story), encore pleurer pendant deux ans, avoir le cœur démonté en soixante parties (c’est beau ou c’est pas beau comme métaphore). Je n'y vais pas pour l'instant, je ne sais pas si j'y survivrai.
Plus ça va, mais vraiment, plus ça va, plus je ressens  les petites choses qui restaient et que je comprenais seulement de loin chez les personnages houellebecquiens. On n'est toujours pas sortis de la berge.