mardi 28 janvier 2014

Trêve de plaisanteries.

 Trêve de galéjades. Trêve de noms de bourgeois pour dire "arrête tes conneries" (encore mieux avec l'accent de mon père, avec le [R] appuyé).
Je sais pourquoi j'écris pas. Les gars, ça ne me réjouit pas de le dire, mais... c'est que j'ai trop d'interlocuteurs. Toute la journée. Blablabla. Et madame je voudrais savoir ceci, et madame cela, et si on réfléchissait à ça.  En plus maintenant, j'ai plus de sept amis (je sais c'est bien trop pour une seule personne).
 
Quand j'écrivais beaucoup, j'étais au lycée (c'était l'bon temps, j'étais la pierre philosophale quand je marchais dans la rue). Et quand j'étais au lycée, j'avais deux amies. Le reste c'était 1) des amis sur internet, et 2) il n'y avait personne d'autre, parce qu'il fallait voir la gueule des gens. C'était un peu la cour des miracles.
Donc comme j'ai un besoin viscéral de parler, il fallait que j'écrive pour déverser tout ce qui sortait de moi (le Vésuve en éruption - en éruption hormonale à ce moment là à mon avis-). Maintenant c'est différent (et vous savez que j'aime pas quand c'est différent).