jeudi 22 décembre 2016

J’ai lu dans un livre pour enfant

quelque chose qui sonnait comme ça : « Quand on lui annonça que sa mère était morte elle pleura. Mais l’homme savait qu’elle ne pleurait pas la perte de sa mère ; elle pleurait la perte de la mère parfaite qu’elle n’aurait jamais. C’était comme si la possibilité d’avoir une mère aimante, se repentant et revenant à de justes sentiments, était morte à jamais en ce qui la concernait. ». C’est un peu ce que je ressens quand je me sépare de quelqu’un. C’est l’idée de l’amour qu’il aurait pu/pourrait me donner, qui rend la chose difficile. C’est l’idée –fugace, l’idée ; merci la méditation, mon cerveau est normal désormais quel soulagement quel bonheur quelle gratitude- que je n’aurai jamais ce genre d’amour qui me fait pleurer.