vendredi 21 septembre 2012

Il y a eu un moment au printemps

 où j’ai cessé de dormir la nuit (et le jour aussi : vous me direz, était-ce vraiment une bonne idée ?). Je ne sais pas bien pourquoi. Mais déjà j’avais peur de rêver, et puis je n’arrivais pas à m’éteindre. L’inconvénient, c’est que j’ai eu des réactions imprévisibles. J’ai aussi des trous de mémoire. J’ai des souvenirs flous de choses dont j’aimerais quand même me souvenir (pour la gloire : comment j’aurais pu grave pécho mon idole de la Sorbonne qui est venu tout seul dans mon lit -il fallait arrêter le freestyle et se bouger le cul un minimum, là, merde).