mercredi 12 juin 2013

Les filles ont trouvé un néologisme

pour parler de moi : elles disent que je suis «mythocondriaque». « Mytho » pour les hyperboles (aka exagérations pour ceux qui n’ont pas écouté les cours de français ; mais que resterait-il de moi sans ça, et le langage imagé que j’ai piqué à mon père qui racontait ses histoires avec du rythme et qui balançait des vannes que j’écoutais avec attention durant les diners avec ses amis dans les années 2000? rien, il n’y aurait même pas de blog), et « condriaque », pour hypocondriaque. Là, je ne m’oppose pas. On sait. 
En ce moment, il y a un tas de maladies plus ou moins rares qui s’attaquent à mon corps. Et évidemment j’ai du faire un test pour savoir si je n’avais pas la syphillis, le SIDA, la mononucléose, des trucs comme ça. Je n’ai rien de mortel, à part que je suis grave décalquée, et que donc je traîne des choses. Ne m’appelez pas pour sortir : je dois dormir (regarder Secret Story et Les Anges de la téléréalité). 
 Personne ne pourra dire que je n’ai pas tout donné cette année, bande de boloss (Oui, je suis agressive, mais seulement envers la partie de l’humanité qui croit que je ne fous rien de la life. Bande de bâtards).