jeudi 11 février 2016

Concernant mon trouble anxieux, autrement appelé angoisse de pute, j'ai sorti les armes de destruction massive depuis un an et j'ai des progrès assez intéressants. Voilà la liste (ça peut toujours servir, je vais vous les énumérer, on sait jamais, ne me dites pas merci): 
J'ai vu une psychologue spécialisée en thérapie comportementale et cognitive pour désactiver les traumatismes et les situations anxiogènes, pour apaiser la petite voix qui me susurrait des trucs horribles en toutes circonstances ("tu n'es pas à la hauteur", "il va partir et tu ne t'en remettras pas", "personne ne t'aimera jamais", et autres joyeusetés). 
J'ai vu une naturopathe/diététicienne pour changer mon alimentation afin de favoriser le fonctionnement de mon système parasympathique: le but, ne pas provoquer de pic d'insuline, bien digérer (toutes les 40 secondes, les intestins envoient à l'insula, le centre du ressenti dans le cerveau, un message pour préciser si ça va ou pas, à partir de ces messages se crée la sensation du bien-être) et ne pas stresser le corps. 
J'ai appris les auto-massages de certains points pour me relaxer, la méditation et la respiration ventrale. 
J'utilise les plantes en huiles essentielles sur mon front (tilleul camomille menthe poivrée diluées dans du millepertuis), j'ingère des plantes dont le lilas et le millepertuis; je prends des probiotiques "La Royale", car le microbiote des intestins a une influence sur la force et la constance psychologique, la capacité à se remettre des échecs. 
Et j'ai fait des séances d'acuponcture pour rééquilibrer les énergies qui parcourent mon corps (si on peut envisager qu'une autre médecine que la fabuleuse médecine occidentale qui shoote au lexomil et ne sait pas traiter la souffrance psychologique, l'ecxéma, le mal de dos, qui dit qu'on n'a rien quand elle ne sait pas quoi faire, qui ne peut même pas mettre en garde contre l'agroalimentaire, existe).