mardi 28 août 2012

"J’ai rencontré Capdevielle au bar de l’Apocalypse,

je lui ai dit, écoute ma vieille, ça s’appelle Le cataclysme. Ca raconte l’histoire d’un ange qui est marchand de certitudes, et qui poignarde dans le ciel étrange le fantôme des solitudes".

Quand je réfléchis, j’ai montré des signes de fatigue dès le lycée. Je sentais bien que j’étais à ça. Avant d’aller en cours j’écoutais le trente-trois tours de 1983 de Renaud, sur le tourne-disque du salon. Allongée sur le vieux canapé bordeaux. Il me fallait ça sinon je me sentais pas de me lever pour aller en physique.