vendredi 9 juillet 2010

J’ai toujours été fascinée par les personnages à la dégaine nonchalante, comme Henry Chinaski, ou les personnages de Houellebecq. Ils se fichent d’absolument tout. J’ai compris avec le temps que je n’atteindrai ce degré de nonchalance qu’avec celui de désespoir (ou d’alcoolisme) correspondant.