mardi 22 novembre 2016

Les casse-couilles internationaux volume 2

Après le mec qui drague devant moi, c'etait pas fini. Je vous présente le defilé des cinglés. Le retour des cotoreps.
Le mec qui me largue dans la voiture après cinq minutes sans trouver de place.

-  Tu n'es pas la femme de ma vie. Je n'ai pas aimé comment tu m'as répondu.
- Là, quand j'ai dit que ca servait à rien de s'énerver?
-  Tout s'écroule. Tu n'es pas celle que jattendais. Tu n'es pas la femme que j'imaginais et qui comblera tous mes besoins.

Jure. Petite tendance à ne pas être contents, les mecs, quand je vous dis que je ne suis pas un iench qu'on peut insulter dès qu'il y a une petite colère dans vos grosses têtes de teubés. Ca va, tout se passe bien, on s'énerve et on largue les meufs quand elles protestent?

Puis est venu le muslim egocentré ancien judoka, acteur de cinéma, médium, vigile, philosophe, informaticien (ça tombe bien, moi je suis pianiste, philosophe, claustrophobe, vigile aussi, strip-teaseuse à Las Vegas, et ministre de l'Intérieur). Le mec qui aime s'entendre parler des heures.

- Hum Marine: je n'aime pas,  tu as baillé au téléphone. Je préfère qu'on reste dans la séduction pour le moment. Je n'aime pas les gens qui baillent.
- Et sinon ca se passe comment pour la respiration? Je peux ou c'est pas sexy?

Et je vous assure (wallah c'est vrai) que mon but, c'est pas de caster les futurs mecs de Faites entrer l'accusé ou Tellement Vrai. Mais j'y arrive très bien sans le vouloir. Soyons honnêtes.