lundi 2 août 2010

Baby when the light go out, I hear you calling


(voilà, là c’est mon maximum en anglais : David Guetta)

Finalement, j’ai été favorisée par le choix de la musique de la soirée poum poum short. Y’avait Ricky Martin et même Keisha. Je me suis aperçue que la Bellevilloise était le repaire des rendez-vous Meetic des divorcés : arrêtez de danser la socadance les gars, c’est fini ce temps là. Ils dansaient vraiment d’une manière étrange, je n’arrivais pas à comprendre d’où venaient leurs mouvements. Mais rien n’était pire que la fille derrière Djamila, qui faisait des cercles avec ses fesses, d’un mètre de diamètre.

- Tourne, tourne tourne tourne, et 360° !

Elle, elle te fauche d’un coup de rein, t’es mort.
J’ai appris il y a quelques temps que le prix Nobel de physique 1992 était un mec qui avait inventé un détecteur de particules, Georges Charpak. Tout ça sur un papier d’apéricube. Comme quoi.

- Oui, je vois bien qui c’est, nous dit Rassinoux.
- Arrête ! Comment tu sais ça ! Tu sais même pas ce que c’est que les particules !
- Si ! J’ai lu un article dans la revue du CNRS, il disait que Charpak avait réussi à réaliser un appareil qui a beaucoup fait avancer la pratique du… Non je déconne. Je ne sais pas qui c’est.
- Tu m’étonnes. Déjà que tu savais pas quelle partie du maillot constituait la pièce du une pièce…

(S’il n’en faut vraiment qu’une, mieux vaut le bas, enfin après c’est selon ta propre appréciation)
Avec Djamila, on a bien repris le contrôle de notre body. On est allé une fois à la piscine ensemble. Heureusement que j’ai continué à y aller toute seule, sinon où en serais-je. Tout ce que je suis, c’est grâce à la piscine, ne nous leurrons pas. Quand je rentre à Dreux je vais mieux, mais je ne peux pas trop y rester étant donné qu’il y a le câble : je regarde Hercule sur Syfy toute la journée (non en fait je regarde les téléréalités de E!, c’est hypnotisant), et qui c’est qui fait mon mémoire après. C’est personne.