samedi 7 août 2010

En ce moment, le maître nageur est branché Georges Brassens.

Et vas-y que ça sifflote les copains d'abord pendant toute une demi-heure. Il doit connaître que celle là, le pauvre.
Ce soir, j'emmène Boris: il va compter les microbes, dire que c'est trop froid, qu'il a envie de dormir, et je vais le noyer. En chantant "le bon dieu me le pardonne, mais chacun pour soi; qu'il ne le pardonne ou non, d'ailleurs je m'en fous, j'ai déjà mon âme en peine, je suis un voyou". Je suis grave un voyou (à la Sorbonne, parce qu'à Dreux, je me ferais taper).