mercredi 6 octobre 2010

Au collège, j’ai définitivement pris le parti de ceux qui jouent aux échecs et s’habillent à la Halle aux vêtements.


A Paris III, il y a des cours d’anglais. Comme dans toutes les autres facs en fait. Mais cette fois-ci, on ne lit pas la cosmologie de Whitehead, ni la Siris de Berkeley. Non. On fait des débats (truc de hippie). « Au nom de la liberté d’expression, peut-on tout dire ? ».

- You can say what you want, you just have to do it with style.

Fut la réponse du mec le plus beau gosse de la classe selon les critères de MTV (en même temps ils ne sont que deux mecs dans la classe, et l’autre ne se lave pas les cheveux).

- On n’est pas dans la pub pour Puma là. Retourne à République boire des vodka-redbull Justin Timberlake.

Ai-je dit presque à haute voix (à Paris III, j’ai trop la confiance).
Maintenant, je suis sûre qu'il ne me chantera jamais Cry me a river en faisant la choré originale. J'ai tout raté.